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LAARAJ
29 mars 2007

LE CORPS JOURNALISTIQUE SAFIOT S'AGONISE

L

a presse nationale de Safi a vu la lumière pour la première fois en 1958 par une association très étroite, presque treize correspondants et rédacteur en chef qui est responsable de tous ce qui est rédactionnelle,donc quelles sont les obstacles qui limitent le développement  de la presse locale de se développer?

Mais la presse à Safi n'a pas connu un progrès plutôt son niveau a beaucoup déminué, à cause plusieurs problèmes de publication, malgré le fait qu'on a quelques journaux comme, ASSIF qui est un journal semestrielle, apparut pour la première fois en janvier  2001, son Directeur et chef  de publication est Mr Saïd  JEDIANI, son prix de vente15 Dh, sa publication est irrégulière ce qui provoque de temps en temps sa fermeture.

OYOUNE  ASFI avec son directeur en chef et de publication Mr Saïd  YAHYAOUI, et d'autres qui ont vécu les mêmes problèmes comme MINBAR ASFI, AL HAKIKA, ALDIMOKRATIA, AL HADAT ALSAHAFI...etc. Ces derniers traitent les problèmes locaux, optent l'information de proximité et touchent une information de nature sportive, politique et économique...etc.

Ainsi que, le journaliste doit être qualifié a l'envie de ce qui se passe concernant une personne préviligiée car informer dans une régions où l'information reste l'éparniage d'une certaine élite et jouit à notre région d'une image aussi mitigée que l'est sa profession, c'est ce qui  nous manque, le pauvre couve en son sein des miches et des misères et nombre de défaillance qui se répercutent directement sur le rendement.

En revanche, un marché qui est dominé par la presse étrangère d'autre journaux marocaines qui représentent un pourcentage très important.

      Il subit en outre, la concurrence  acharnée des autres supports de publicité que son journal électronique. Pour ce qui est le cas la liberté d'expression. on voit que le journaliste local doit éviter de confondre entre une opinion personnelle et une information succéptible d'intéresser au lecteur, cependant, on voit qu’à OUJDA (ALHADAT ACHARKI) et TANGER (LES NOUVELLES DU NORD) ses qualités sont très élevées et presque développées comme les journaux régionaux étrangères et pas malheureusement comme la notre. 

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